Château Sainte Roseline 
Les Arcs sur Argens

AOP Côtes de Provence | Cru Classé

Œnotourisme

Type(s) d'agriculture Haute Valeur Environnementale - HVE3
Activités Dégustation / Manifestation & Evénement / Sentiers vignerons / Vente de produits du terroir / Visite du domaine/de la cave uniquement sur rendez-vous
Services Accessible aux personnes en situation de handicap / Espace enfants / Héliport / Labellisé Qualité Tourisme / Labellisé Vignobles & Découvertes / Location de salle

Présentation

Cru classé, site classé : Sainte-Roseline ne fait pas dans la demi-mesure ! En moins d’une quinzaine d’années, Bernard Teillaud a fait de Sainte-Roseline, ancienne abbaye où séjournaient les évêques de Fréjus, l’un des fleurons de l’appellation Côtes de Provence, avec ses crus de gastronomie au packaging reconnaissable entre tous.

Les plus du domaine

Expositions, manifestations, ateliers de dégustation organisés dans l’abbaye restaurée avec un profond souci d’authenticité… : Sainte-Roseline est devenu plus que jamais l’un des hauts lieux oenotouristiques de Provence. Chaque année, le domaine emmené par Aurélie Bertin est l’hôte d'un salon de la rose et du jardinage, d'un festival de musique, d'un marché de noël et de nombreuses journées à thèmes (truffe, printemps, vendeanges) ou encore, durant l’été, une exposition de sculptures monumentales dans le cloître du 12 ème siècle et l'allée des platanes bicentenaire.

Original et insolite

L’histoire de Roseline a marqué les esprits dans les environs des Arcs. Au XIIIème siècle, alors que la famine frappe durement les campagnes, Roseline, fille du marquis de Villeneuve, seigneur des Arcs, prend l’habitude de vider en cachette les réserves familiales pour venir en aide aux paysans affamés. Un jour, son père soupçonneux lui demande de montrer ce qu’elle cache sous son tablier d’où, miracle, s’échappe une brassée de roses. C’est peut-être de cet événement que remonte sa vocation religieuse. Prieure supérieure de l’abbaye de la Celle-Roubaud, elle meurt en 1329. Exhumée cinq ans après sa mort, son corps est retrouvé intact, avant d’être finalement embaumé en 1894 et placé dans une châsse de cristal dans la chapelle communale décorée par Chagall et Giacometti, devenue aujourd’hui un lieu de culte renommé.

Localisation